La région de Maradi est située dans la partie centre sud du Niger entre les parallèles : 13° et 15°26’ de lattitude Nord et le 6°16’ et 8°36’ de longitude Est. La région a une superficie de 41 796 km2. Elle est limitée par les régions de Zinder à l’Est, Tahoua à l’Ouest, Agadez au Nord et le Nigéria au Sud avec 150 km de frontière.
La région compte 8 départements qui sont Dakoro, Bermo, Mayahi, Tessaoua, Gazaoua, Aguié, Madarounfa et Guidan Roumdji. Les ressources en eau sont celles de surface dont les goulbis (Maradi et Kaba), de la Tarka, des cours d’eau au régime saisonnier, des mares permanents (Lac Madarounfa, mares de Koufin Koura, Akadané, Birni Lallé et Rafin Wada), des mares semi-permanentes, des vallées fossiles et des mini-barrages. Les ressources en eau souterraine sont le système aquifère du continental Hamadien , les aquifères discontinus u socle du Sud Maradi et les nappes alluviales des Goulbis et de la Tarka qui sont d’extension limitée.
La région peut être subdivisée en trois grandes biogéographiques :
Selon le recensement général de 2012, la population est de 30402 094 habitants soit 19 % de la population du Niger. La densité est de 81,4 hts/km2 contre 15,5hts/km2 pour le pays. La population est à majorité rurale (86,3%) et féminine (50,8%). La population est jeune avec 54,4% de moins de 15 ans contre 51,6% pour le pays. Le rythme de croissance est moins élevé que la moyenne nationale (3,7% contre 3,9%). L’Agriculture, l’Elevage, le commerce et l’artisanat sont les principales activités économiques dont la majeure partie évolue dans le traditionnel et l’informel.
Source : PDR de Maradi
- Le traitement des bassins versants
- Les pistes de désenclavement
- Les marchés de demi-gros
- Les centres de collecte des produits agricoles
- Les seuils et mini-barrage
- La RNA
- Les renforcements des capacités (champs écoles paysans, appui conseil agricole paysan, dispositif d’innovation paysan en élevage
- Les formations des comités de gestion pour les activités communautaires
- La récupération des terres pastorales et leur gestion durable
- La méthode de lutte alternative contre les ennemis des cultures